Ouvrage consacré à Paul Chavanon qui fonda l'école ORL homéopathique. Son fils Michel retrace ce parcours et tente de montrer l'inanité de certains traitements et l'intérêt de l'homéopathie. ©Electre 2025

La bonne santé conditionnant le bien-être, il est légitime de s'interroger sur le rôle et la situation de la médecine, et sur la compétence de ceux qui la pratiquent.

Comment expliquer la ségrégation dont sont victimes certains savants ou médecins qui osent guérir en utilisant des méthodes que refuse de reconnaître la médecine dite officielle qui s'octroie, à elle seule, droit de cité ?

De grands médecins combattent courageusement, parfois héroïquement, pour le bien de leurs patients et subissent, pour cette raison, les vindictes de leurs instances professionnelles.

Existe-t-il, réellement, une « maffia médicale » qui étouffe volontairement leurs clameurs d'indignation et empêchent, à dessein, la vulgarisation de méthodes bénéfiques ?

Le docteur Paul Chavanon était un de ces grands personnages pourfendeurs des mensonges criminels imposés à l'opinion publique. Il se dressa toute sa vie contre les dogmes médicaux qu'il savait fous, sans accepter la tyrannie du lobby pharmaceutique tout puissant qui détourne beaucoup de confrères du respect de la règle élémentaire consistant, avant tout, à « d'abord ne pas nuire ».

Son immense bon sens, sa volonté d'observer les effets et d'en tenir compte, la recherche systématique des causes, de même que la compassion, qualités qui sont trop souvent reléguées au rayon des accessoires inutiles, animaient sa vie.

Fondateur de l'Ecole O.R.L. Homéopathique, il demeure le maître incontesté de cette discipline.

Ce livre s'adresse à tous ceux qui ont compris l'inanité de certains traitements iatrogènes à la mode, aux prescripteurs et aux utilisateurs de l'homéopathie, qui trouveront, dans ces pages, la confirmation du bien-fondé de leur choix. Ils auront une pensée reconnaissante pour celui qui, à la suite de Samuel Hahnemann, consacra sa vie au soulagement, à la guérison de ceux qui souffrent.

Ils découvriront un homme altruiste, un savant modeste qui apporta une immense contribution à la médecine à visage humain.

Plus de quarante après le « départ », de son admirable père, son fils Michel exprime sa tendresse et sa reconnaissance en termes fort émouvants.

En fils respectueux et fidèle, héritier d'une volonté permanente de combattre pour ce qui est vrai, il tente, autant qu'il le peut, de faire connaître l'oeuvre de celui qui fut un homme de lumière et un père inégalable.