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Recueil d'histoires courtes situées dans l'univers de la corrida. ©Electre 2025
Amoureux d'Espagne depuis l'enfance, vivant alors à Bayonne dans le quartier des Arènes, je fus d'abord fasciné par la corrida de toros, par cette avalanche d'images fortes toujours si proches de l'imaginaire.
Et puis il y eut peu à peu la découverte de l'âme, de l'art espagnols, du grand chant surréaliste de Lorca, de Falla et de ses sortilèges, et avant tout de Goya, de ses caprices grotesques et disparates.
J'en vins naturellement à imaginer, dans le monde des toros, des petites histoires courtes comme sont les rêves, où tout commence bien et où tout à coup quelque chose se détraque du fait de l'arrivée d'un grain de folie, de ce qu'on appelle en Andalousie, la fantasia. Je me laissais guider par le souvenir des maîtres du fantastique ou de l'absurde que sont Hoffmann, Poe, Lewis Carroll, Lovecraft, etc.
En 1968 j'écrivis un premier recueil de 24 contes (intitulé Le Taureau des fêtes à cause de Lautréamont) et je le publiai à compte d'auteur à 500 exemplaires. C'était mon premier livre. Vingt ans plus tard, j'écrivis un deuxième recueil de ces contes taurins particuliers que Max Fourny publia en 1989 (intitulé, comme « au miroir », La Fête des taureaux).
Les voici aujourd'hui réunis, pour un nouveau destin.
Lorsque parut en 1968 Le Taureau des fêtes, quelques critiques écrivirent dans la presse spécialisée :
Il n'est pas possible que l'auteur de pareil livre soit né de l'homme et de la femme. En effet, comment expliquer, si Mario Bois était simplement un être humain, qu'il sache tout des toros et qu'il parle même leur langage ? Comment expliquer que ce livre soit un miracle de connaissance sensible et poétique ?
Mon explication : Mario Bois est le fils de Minos et Pasiphaë. On a mis un stylet entre les ongles du sabot de cette fabuleuse créature et, pour la première fois dans l'histoire de la littérature taurine, un livre a été écrit par un homme-toro. ¡ Si señor !
Jean Cau
D'une information toujours exacte, même en plein rêve, ce livre d'amour m'a beaucoup appris sur la tauromachie. Les lointaines Lettres de mon moulin nous faisaient connaître ainsi la Provence. C'est le même art, tour à tour de drôlerie et de tendresse.
Paul Lorenz
Paru le : 15/12/2009
Thématique : Littérature Française
Auteur(s) : Auteur : Mario Bois
Éditeur(s) :
Séguier
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-84049-595-6
EAN13 : 9782840495956
Reliure : Broché
Pages : 361
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 15.0 cm
Poids: 545 g