Une réflexion sur l'évolution de la société et la place de l'Eglise catholique et des croyants au sein de celle-ci. L'auteur étudie l'utilité du vote pour les catholiques et démontre que le suffrage universel n'est pas un avantage pour la religion, mais qu'il s'agit d'une bonne intention trompeuse. ©Electre 2025
« Si les élections servaient à quelque chose elles seraient interdites » (attribué à Rose Luxembourg)
Le vote semble aujourd'hui une évidence politique, si bien que son refus est vite taxé de désespoir par des gens qui en restent aux apparences et ont du mal à envisager les choses au niveau doctrinal, ce qui est caractéristique du système. Mais le désespoir, pas plus que l'abandon de toute action politique ne caractérisent le petit nombre de ceux qui ne votent pas. Au contraire parmi eux se trouvent bon nombre de personnes ayant passé leur vie à agir dans les domaines politique, religieux.
Oui vraiment, le catholique qui vote par devoir doit se poser des questions. À l'issue de ce parcours historique, nous voyons qu'il n'est pas possible de considérer l'obligation de voter comme une sorte de vérité première évidente, il n'est pas possible de réduire l'action politique au vote, il n'est pas possible de refuser tout examen, toute discussion et de qualifier les abstentionnistes de doux rêveurs.
Paru le : 15/06/2016
Thématique : Questions de société / témoignages
Auteur(s) : Auteur : Guennaël de Pinieux
Éditeur(s) :
Editions de Chiré
Collection(s) : Penser la contrerévolution
Contributeur(s) : Editeur scientifique (ou intellectuel) : Cercle Georges Cadoudal
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-85190-204-7
EAN13 : 9782851902047
Reliure : Broché
Pages : 45
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 15.0 cm
Épaisseur: 0.3 cm
Poids: 70 g
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