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Un coup de coeur de Rayon Art de Vivre / Tourisme
Ce roman est une balade avec l’auteur sur plusieurs jours pour découvrir un Berlin authentique.
La collection « premier voyage » de l’arbre qui marche est une série de romans pensée comme des guides. À travers les pages du récit, les lecteur•ice•s découvrent une ville, sous le regard d’auteur•ices partageant leurs expériences de vie locale. Les récits sont accompagnés de cinq itinéraires aux entrées diverses expliquées avec soin (alternatifs, historiques, shopping…); une infographie pertinente et personnalisée pour chaque destination ; ainsi qu’un partage artistique « pour continuer le voyage » constituée de pièces de théâtre, films, livres, musiques !
Le roman « Berlin » est avant tout une histoire vécue, des rencontres et des anecdotes permettant aux lecteur•ice•s de se plonger dans le quotidien d’un Berlinois. Norman Ohler, l’auteur, a 19 ans le 10 novembre 1989 lors de la chute du mur, il voit la ville se rouvrir et surtout se redécouvrir aux fils des années. Berlin devient petit à petit une ville remplie d’espoir et d’un fort sentiment de liberté.
À travers ses journées et ses divers échanges, on se plonge dans un Berlin réinventé, une ville multiculturelle aux innombrables possibilités. Berlin s’ouvrant à de nouveaux milieux alternatifs notamment par le biais de club reconnus, et par sa musique expérimentale qui s’y joue (rock indépendant, électro pop, techno expérimentale...). Le glanage de témoignages nous plonge également dans la dualité de Berlin, en nous délivrant aussi une face plus sombre d’une ville (violence, drogue, prostitution, bureaucratie berlinoise…).
À travers la seconde partie du récit, « Immigration », Norman Ohler évoque également les préoccupations politiques de la ville actuelle et historique : Seconde Guerre mondiale, politique d’après-guerre, lieu d’immigration mondiale, pollution, travail, lutte, tension… Ce récit journalier, remplis d’enjeux sociaux mène les liseur•se•s vers diverses réflexions : la naissance de la ville sur la Spree ou encore vers sa gentrification importante façonnée par la révolution industrielle.
Le roman « Berlin » est avant tout une histoire vécue, des rencontres et des anecdotes permettant aux lecteur•ice•s de se plonger dans le quotidien d’un Berlinois. Norman Ohler, l’auteur, a 19 ans le 10 novembre 1989 lors de la chute du mur, il voit la ville se rouvrir et surtout se redécouvrir aux fils des années. Berlin devient petit à petit une ville remplie d’espoir et d’un fort sentiment de liberté.
À travers ses journées et ses divers échanges, on se plonge dans un Berlin réinventé, une ville multiculturelle aux innombrables possibilités. Berlin s’ouvrant à de nouveaux milieux alternatifs notamment par le biais de club reconnus, et par sa musique expérimentale qui s’y joue (rock indépendant, électro pop, techno expérimentale...). Le glanage de témoignages nous plonge également dans la dualité de Berlin, en nous délivrant aussi une face plus sombre d’une ville (violence, drogue, prostitution, bureaucratie berlinoise…).
À travers la seconde partie du récit, « Immigration », Norman Ohler évoque également les préoccupations politiques de la ville actuelle et historique : Seconde Guerre mondiale, politique d’après-guerre, lieu d’immigration mondiale, pollution, travail, lutte, tension… Ce récit journalier, remplis d’enjeux sociaux mène les liseur•se•s vers diverses réflexions : la naissance de la ville sur la Spree ou encore vers sa gentrification importante façonnée par la révolution industrielle.
