Ouvrage polémique réfutant la vision de Claire Ferchaud proposée par Jean-Yves Le Naour dans son livre Claire Ferchaud, la Jeanne d'Arc et la Grande Guerre (Hachette, 2007). Ce livre, selon C. Mouton-Raimbault, ne vise qu'à discréditer le message et la personne de la "nouvelle Jeanne d'Arc". Il dénonce un parti pris maçonnique et un procès contre la France et contre l'Eglise catholique. ©Electre 2024

Exploitant un dossier qui fait illusion à cause d'une affaire d'héritage, un auteur pro-maçonnique s'est empressé d'attaquer la personne, la mission et le message de Claire Ferchaud, trente-cinq ans après sa mort ( !), en essayant de faire passer notre expiatrice nationale pour un « gourou » assoiffé d'argent, conditionné par d'autres « gourous » : son curé et le clergé d'autrefois.

A travers elle, sous le couvert d'une étude historique et sociologique, en s'abritant pareillement derrière le Concile Vatican II et en se réclamant de hautes personnalités religieuses, c'est tout le procès de la Tradition catholique et de la mission divine de la France qu'il prétend faire au nom d'un monde qui construit sa Babel moderne.

Surtout, à la manière des sectaires qui s'efforcent de traîner dans la boue Notre Seigneur Jésus-Christ, avec le Da Vinci Code et la Vierge Marie, avec les élucubrations éculées sur « les frères » de Jésus, il n'hésite pas à insinuer des abominations sur la pureté de la messagère.

Or, c'est justement cette pureté dont a été enveloppée Claire pour délivrer son message relatif au drapeau du Sacré-Coeur et à la Messe Perpétuelle dans son rite intouché qui triomphera demain dans les moeurs, les lois et les institutions, au terme d'un châtiment qui risque « de plonger les nations dans le chaos des nuits », puisque l'humanité continue à s'organiser en dressant le poing contre son Créateur.

Autrement dit, la Messe Perpétuelle qui aurait pu, jusqu'ici, rendre Gloire à Dieu et répandre des grâces exceptionnelles pour sauver les individus et les nations, s'imposera désormais comme un appel au secours.

Claude Mouton-Raimbault répond ici au contempteur de Claire.