Un défi, tant notre société a repoussé la mort aux confins : incompatibilité avec la vie, la jouissance, le corps parfait...
Montaigne disait déjà "vivre, c'est apprendre à mourir" et si l'on peut rajouter à " bien" mourir
Avoir le temps et la possibilité de faire le deuil de sa vie, avec un soin qui soit pratiqué dans une relation de confiance faite d'humanité et de sens
Inhumanité qui s'installe quand l'échange disparaît derrière les considérations techno-scientifiques
N'ayons plus peur de mourir mais seulement de mal mourir...