Une étude sur la chute de l'Empire romain à partir du IVe siècle, conséquence de crises climatique, démographique, fiduciaire et économique, morale et religieuse. Le latin et la romanité ont pris le relais de l'Empire, sous l'impulsion d'un nouvel acteur : le christianisme. ©Electre 2025
Le déclin de l'empire romain
Crise climatique et démographique, crise fiduciaire et économique, crise morale et religieuse : au IIIe et IVe siècle de notre ère, Rome chavire. Mais a-t-elle chuté ?
Si l'Empire des Césars s'est peu à peu délité, que dire de l'Empire d'Orient, qui a vécu jusqu'en 1453 ? Du Saint-Empire romain germanique, jusqu'en 1806 ? Ne lit-on pas encore aujourd'hui le fameux « SPQR » sur toutes les bouches d'égout de Rome ? Survivance ou cache-misère ?
Certes, « Rome n'est plus dans Rome ». Une chose est sûre : la romanité et le latin ont pris le relais de l'Empire, sous l'impulsion d'un nouvel acteur aux prétentions non moins universelles : l'Eglise chrétienne. La pourpre cardinalice s'est substituée à la pourpre des sénateurs romains. Le pape, souverain pontife comme Auguste pontifex maximus, donne toujours sa bénédiction Urbi et Orbi...
Comme le phénix renaît de ses cendres, Rome n'est pas morte. La Ville éternelle peut-elle jamais mourir ?
Paru le : 10/01/2018
Thématique : Rome Antique
Auteur(s) : Auteur : Joël Schmidt
Éditeur(s) :
PUF
Collection(s) : Que sais-je ?
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-13-079986-3
EAN13 : 9782130799863
Reliure : Broché
Pages : 127
Hauteur: 18.0 cm / Largeur 12.0 cm
Épaisseur: 0.9 cm
Poids: 100 g
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