en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
L'auteur livre ici un portrait critique de l'écrivaine, montrant les points négatifs de sa personnalité et de son oeuvre. Il analyse notamment comment le jeu qu'elle a mené contre Musset a détruit le poète et présente une partie de l'année 1871 de son Journal dans lequel elle critique la Commune et les communards. ©Electre 2025
Il ne lui passe rien, Henri Guillemin à «la brave dame de Nohant». D'abord son style que Baudelaire, déjà, exécrait. Ensuite, sa «production littéraire fleuve» : plus de cent cinquante livres dont la presque totalité heureusement oubliée aujourd'hui.
Et surtout pas d'avoir détruit Musset, d'avoir joué de lui, sciemment, cyniquement puis travesti, pour la postérité, cette sombre histoire.
Encore moins de tromper son monde sur ses convictions profondes, réelles.
Tellement progressiste, dans les salons parisiens, tellement bourgeoise réactionnaire rentrée dans ses terres.
Encore convient-il que les salons parisiens ne soient pas mis en danger par une populace arriérée...
C'est que cette femme «libérée» n'aime pas La Commune, encore moins les communards : «une émeute de fous et d'imbéciles mêlés de bandits» écrit-elle dans son Journal (23 avril 1871).
Journal parfaitement révélateur que nous livre ici Henri Guillemin.
Après l'épandage du bicentenaire de la naissance de la dame, il est salubre d'ouvrir la fenêtre et de laisser entrer un peu d'air non vicié dans ces histoires. Au risque de faire des déçus.
Mais, quoi, comme disait Robespierre : «C'est la vérité qui est coupable».
Paru le : 21/02/2005
Thématique : Essais et théories - Dictionnaire
Auteur(s) : Auteur : Henri Guillemin
Éditeur(s) :
Utovie
Collection(s) : HG
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782868197382
Reliure : Broché
Pages : 280
Hauteur: 20.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 3.1 cm
Poids: 600 g