Essai permettant de voir s'il est équitable et souhaitable de reconnaître à l'enfant in utero ayant atteint le dernier trimestre de grossesse, donc le stade d'une viabilité quasi certaine, un droit à naître vivant. Pour cela, il faut reconnaître à cet être humain viable une identité qui lui permettrait d'être juridiquement reconnu dès 6 mois de grossesse. ©Electre 2024
Savez-vous que le responsable d'un accident dont est victime une femme enceinte de 8 mois accompagnée de son chien et qui a entraîné le décès du chien et celui de l'enfant dans le ventre de sa mère ne sera condamné que pour la mort du chien ?
Savez-vous que tant qu'il n'est pas né, même viable, entre 6 et 9 mois de grossesse, l'enfant n'existe pas aux yeux de la loi ?
Savez-vous que détruire les oeufs d'une espèce animale protégée relève d'une sanction pénale et que provoquer accidentellement la mort d'un enfant au cours d'une grossesse n'est pas punissable ?
Et bien, sachez que sans remettre en cause les lois sur l'IVG et sur l'interruption médicale de grossesse, cet ouvrage apporte des réponses et fait des propositions concrètes, afin que ce scandale éthique et juridique, qui n'est plus acceptable, cesse enfin.
Paru le : 06/04/2009
Thématique : Philosophie des sciences - Généralités
Auteur(s) : Auteur : Joël Marcovitch
Éditeur(s) :
L'Harmattan
Collection(s) : La justice au quotidien
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-296-07593-1
EAN13 : 9782296075931
Reliure : Broché
Pages : 70
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 0.5 cm
Poids: 105 g
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