Essai sur la fin de la carrière profede Jean Prouvé (1901-1984) et en particulier sur la période faisant suite à l'ouverture du capital, en 1952, de la société les Ateliers Jean Prouvé qu'il avait créée à Maxéville-lès-Nancy et à sa démission en 1953, l'architecte considérant 1952 comme la date de sa mort professionnelle. ©Electre 2025
Jean Prouvé s'est toujours dit «mort» en 1952, année où il fut chassé de l'usine qu'il avait créée à Maxéville-lès-Nancy.
L'auteur a retracé les circonstances de cette rupture et défini les structures au sein desquelles il a travaillé dans les années qui ont suivi jusqu'en 1968, année de son installation comme ingénieur-conseil, rue des Blancs-Manteaux à Paris.
Période d'autant plus cruciale que, bien qu'amputé de son usine, Prouvé réalise ses chefs d'oeuvre, le pavillon du Centenaire de l'aluminium, la maison de l'abbé Pierre, la buvette d'Évian, les écoles de Villejuif, les façades du Cnit, Alpexpo à Grenoble...
Paru le : 17/10/2005
Thématique : Autres périodes architecturales Autres réalisations architecturales
Auteur(s) : Auteur : Bernard Marrey
Éditeur(s) :
Ed. du Linteau
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782910342425
Reliure : Broché
Pages : 58
Hauteur: 18.0 cm / Largeur 11.0 cm
Poids: 201 g
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