Le « Dieu de la guerre », Napoléon, n'a pas oublié le conseil de Machiavel : « C'est lorsque le Prince est à la tête de ses troupes, et qu'il commande à une multitude de soldats, qu'il doit moins que jamais appréhender d'être réputé cruel ».
Marengo, Pont de Lodi, Austerlitz, Eylau, Campagne de Russie, Pyramides, Leipzig, ... Autant de guerres, autant de batailles, de paysages, autant de soldats, d'officiers ,autant de généraux, autant de désastres, autant de morts.
En creux, cette exposition souligne aussi cette phrase du Dieu de la guerre : « La seule perte qu'on ne puisse réparer, ce sont les morts. »
Pour saisir cette immense geste et approcher le travail pictural de Louis François Le jeune, nous vous proposons quelques repères :