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Des contributions sur les implications et les contradictions de l'article 2, paragraphe 1 de la Charte des Nations unies, qui stipule que l'ONU est fondée sur le principe de l'égalité souveraine de tous ses membres, quelles que soient leur superficie, leur population ou leur puissance. En réalité, la souveraineté représente pourtant la principale limite au développement du droit international. ©Electre 2024
Le principe de l'article 2.§ 1 de la Charte des Nations Unies
Journée d'étude organisée par le CÉCOJI Pôle Droits de l'homme
Selon les termes de l'article 2, paragraphe 1 de la Charte des Nations Unies, « [l']Organisation est fondée sur le principe de l'égalité souveraine de tous ses membres ».
Par leur dimension protectrice, la souveraineté et l'égalité restent des principes fondamentaux du droit international public auquel les États demeurent particulièrement attachés. En théorie, les États souverains sont donc tous égaux, quelles que soient leur superficie, leur population et leur puissance réelle.
Toutefois, la réalité s'avère moins heureuse et plus complexe. Paradoxalement, c'est l'affirmation même de la souveraineté qui génère cette inégalité réelle. La souveraineté représente la principale limite au développement du droit international, notamment des droits de l'homme. Elle constitue de fait une entrave au développement économique des États, à la liberté de navigation, à la lutte contre l'impunité et au développement de l'action humanitaire.
Les différentes contributions de ce livre mettent en lumière la dialectique qui anime le droit international depuis toujours : souveraineté versus développement du droit international. Lorsqu'il progresse, la souveraineté recule inéluctablement. L'analyse de l'influence de la mondialisation à l'égard du principe de souveraineté fait apparaître qu'il a subi et subit encore constamment des atteintes considérables.
Cet ouvrage tente d'analyser les évolutions qu'induit l'article 2, § 1 de la Charte des Nations Unies. Les entorses juridiquement acceptées par le droit international continuent-elles d'être légitimes à l'aune de la pratique des États et des organisations internationales ? A contrario, les pratiques des États et des organisations internationales sont-elles toujours justifiées à l'aune du principe de l'article 2, § 1 de la Charte des Nations unies ? Quelles peuvent être alors le sens et la portée actuels de ce principe fondamental ? Les évolutions des faits doivent-elles entraîner une évolution du discours sur ces deux principes ?
Telles sont les inquiétudes auxquelles les présentes contributions souhaitent proposer des approches de réponse.
Paru le : 12/12/2013
Thématique : Droit international
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
Université de Poitiers, Presses universitaires juridiques de Poitiers
LGDJ
Collection(s) : Collection de la Faculté de droit et des sciences sociales de Poitiers
Contributeur(s) : Organisateur d’un congrès : Centre d'études sur la coopération juridique internationale (France) - Editeur scientifique (ou intellectuel) : Di Gore Simmala
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 979-10-90426-34-4
EAN13 : 9791090426344
Reliure : Broché
Pages : 208
Hauteur: 24.0 cm / Largeur 16.0 cm
Épaisseur: 1.0 cm
Poids: 340 g