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Publié le 13/09/2012
Dans le contexte économique actuel du marché mondial, les plus grands théoriciens de l'économie nous proposent depuis quelques mois de nouvelles théories susceptibles de changer la vision que l'on pourrait se faire d'un monde où le pouvoir de la finance resterait cloisonné et centralisé autour des pays « riches ».
Le phénomène de mondialisation a été longtemps décrié, l'est encore aujourd'hui, et est considéré comme une des sources des écarts de développement entre le Nord et le Sud. Or, avec l'arrivée des super-puissances chinoises, brésiliennes ou russes, tout reste à repenser.
Force est donc de réfléchir sur le système commercial et d'échange qui régie notre société mondiale, en prenant en compte l'ensemble des pays qui, entre autres, ne respectent pas les conditions de la mondialisation « équitable » institutionnalisée en façade notamment par l'Organisation Mondiale du Commerce.
Alors, entre idéologie du déclin ou espérance en une nouvelle organisation de la société mondiale, les auteurs pensent l'avenir économique du monde de manière à inclure tous les paramètres qui régissent la société mondiale, et peuvent proposer au-delà de leur analyse une organisation respectueuse des valeurs sociales, écologiques et progressistes. Certains répondent à la question de la mondialisation et de ses limites en déconstruisant ce principe dépassé et en pensant plutôt au processus présent de démondialisation. Certains autres tentent de mesurer le réel impact de la mondialisation sur les conditions d'appauvrissement des pauvres et d'enrichissement des classes supérieures et confirment ainsi la théorie de la démondialisation et parfois sous l'angle d'une nouvelle révolution industrielle.
À chacun de se faire son propre jugement sur l'état des échanges mondiaux et d'élargir sa vision politique ou géopolitique du monde et des relations internationales.
Illustration : © Michael Brown - Fotolia.com
Force est donc de réfléchir sur le système commercial et d'échange qui régie notre société mondiale, en prenant en compte l'ensemble des pays qui, entre autres, ne respectent pas les conditions de la mondialisation « équitable » institutionnalisée en façade notamment par l'Organisation Mondiale du Commerce.
Alors, entre idéologie du déclin ou espérance en une nouvelle organisation de la société mondiale, les auteurs pensent l'avenir économique du monde de manière à inclure tous les paramètres qui régissent la société mondiale, et peuvent proposer au-delà de leur analyse une organisation respectueuse des valeurs sociales, écologiques et progressistes. Certains répondent à la question de la mondialisation et de ses limites en déconstruisant ce principe dépassé et en pensant plutôt au processus présent de démondialisation. Certains autres tentent de mesurer le réel impact de la mondialisation sur les conditions d'appauvrissement des pauvres et d'enrichissement des classes supérieures et confirment ainsi la théorie de la démondialisation et parfois sous l'angle d'une nouvelle révolution industrielle.
À chacun de se faire son propre jugement sur l'état des échanges mondiaux et d'élargir sa vision politique ou géopolitique du monde et des relations internationales.
Illustration : © Michael Brown - Fotolia.com
